La commune de Paris en 1871 : Hommage de Coulonges et de FERRAT - Janvier 1971

 

Pour le centième anniversaire de l'insurrection parisienne de 1871, Georges Coulonges écrit les paroles de "la commune". C'est le titre phare de l'album qui sort en février 1971. Voici l'album, celui de la réédition de la fin des années 1970 (n° 9 dans la collection, enregistrements de 1971) :

 

 

 Sur cet Album de très belles chansons, outre la commune :  une très belle chanson sur l'intimité amoureuse, "Je vous aime", "Etat d'âme", un regard un peu désabusé sur la société, "les touristes partis", une chanson qui évogue le village d'Antraigues après le départ des vacanciers...Ces quatre titres sont repris sur ce 45 tours 4 titres (EP) sorti en 1971 :

 

L'autre grande chanson  de l'album est sans doute la chanson qui est avec la montagne, la chanson la plus connue de jean FERRAT aujourd'hui : "Aimer à perdre la raison". Cette chanson, poème d'ARAGON mis en musique par jean FERRAT,  figure sur un autre 45 tours sorti en 1971 :

 

Ci dessous le verso du disque 33 tours original sorti en 1971 :

 

Cette chanson aimer à perdre la raison ne figure pas sur l'album FERRAT chante ARAGON qui sort la même année.

 

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

Commentaires

  • Van Waes Herman

    1 Van Waes Herman Le 29/09/2012

    L'Ardèche découverte afin de pouvoir rencontrer Jean...Ardèche sillonnée du nord au sud pendant des années et puis la et les rencontres avec Jean. Sur la place d'Antraigues surtout et aussi à Barjac.
    Des souvenirs impérissables, une émotion vive qui reste et restera.
  • Hugo Freby

    2 Hugo Freby Le 04/05/2011

    Bonjour, d'abord un grand merci pour ce site très interessant et passionnant, à la hauteur de l'homme auquel il est dédié !

    Jean Ferrat est un chanteur à mon avis exceptionnel, qui a tout au long de son oeuvre magistrale, poétique et engagée, fait preuve de sensiblité face au monde et à la vie.
    Une chanson m'échappe.... Je voudrais connaître le message que Jean Ferrat a voulu faire passer à travers la chanson "Et pour l'exemple", que je peine à saisir. J'en ai cependant déduit ma propre interprétation, un texte contre la peine de mort.
    Merci d'avance pour vos renseignements.
  • kim

    3 kim Le 22/09/2010

    Merci à tous les inconnus pour leur témoignages, on voit que vous l'aimiez votre JEAN ; moi je ne le connaissais pas si bien, juste la chanson la montagne que j'adore et un peu aimer à perdre la raison. Maintenant je les écoute toutes avec émerveilement,j'ai eu l'impression d'avoir été sourd et aveugle.Ce ne sont pas que des chansons et des textes c'est une culture .Pourtant quand on a annoncé son décés ,j'ai été envahi d'une trés grande tristesse comme si j'avais perdu un ami trés proche. Merci JEAN pour ton oeuvre, j'espere que tu es avec ouralou. JOHNNY KIM
  • Nina

    4 Nina Le 03/09/2010

    Bonjour a tout hasard j'ai trouver votre page
    je voudrais faire une vidéo que vous pouvez visionner a *ninareviens06*
    j'adore Jean Ferrat et pour moi il est toujours sur terre travers toutes ses belles chanson qui parlent d'amour *de tristesse * d'histoire *
    et de poésie ! je suis une mamie de 72 ans mais * moderne * je adore mon blog et faire des vidéo voila j'ai tout dit * bonne fin de journée. Nina alias reviens06
  • SULPIN Michel

    5 SULPIN Michel Le 16/03/2010

    Chers Jean, ceux que je connais je les aime tous, mais inconsciemment Jean Ferrat plus aujourd'hui, jour de ses obsèques. Né le 1er Septembre, un jour d'anniversaire de 66, à 12 ans j'écoutais: " La montagne ", pour moi c'est Champagny le haut, Métabief, Courchevel cette après midi ça sera Antraigue. A 12 ans je ne comprenais pas toutes ces paroles... Ces textes et mélodies me trottaient dans la tête.
    Il incarne le devoir de mémoire.
    Michel Drucker a fait un travail de sensibilisation extraordinaire dimanche dernier, et Foucauld avait raison hier: on était pas forcé d'être d'accord avec lui. Mais bravo à ce grand chanteur.
    Chapeau bas comme dit Fabien.
    J'aurai ma minute de silence pour ces vingt et cent par lui évoqués.
    En toute sympathie dévouée
    Michel Sulpin
    Woustviller

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